Visite du Secrétaire général du SIECA au siège de l’OMD
26 novembre 2009
Rapport
Le 26 novembre 2009, le Secrétaire général de l’OMD, Kunio Mikuriya, a rencontré le Secrétaire général du Secrétariat permanent du Traité général d'intégration économique de l'Amérique centrale (SIECA), Mme Yolanda Mayora de Gavidia, au siège de l’OMD. Les cinq membres du SIECA (Costa Rica, El Salvador, Guatemala, Honduras et Nicaragua) sont également Membres de l’OMD.
Les deux Secrétaires généraux ont discuté d’un grand nombre de sujets d’intérêt commun, y compris les progrès dans l’établissement d’une union douanière en Amérique Centrale, la facilitation des échanges, la classification tarifaire, l’harmonisation et l’automatisation des procédures douanières, l’évaluation des risques, l’échange d’informations entre les administrations des douanes, et les meilleures pratiques dans le domaine des douanes.
Mme Mayora de Gavidia a fourni des informations sur l’école des douanes d’Amérique Centrale (ECAT), ainsi que des détails sur les projets de coopération technique en cours d’application par le SIECA avec l’aide de différentes organisations intergouvernementales, y compris la banque interaméricaine de développement, la banque mondiale, l’Union Européenne et l’agence pour le développement international. Elle a également indiqué que le SIECA célèbrerait son 50ème anniversaire en 2010.
M. Mikuriya a attiré l’attention sur le grand nombre d’événements organisés par l’OMD, potentiellement intéressants et avantageux pour le SIECA et ses Membres, y compris la Conférence sur la gestion des services fiscaux à venir (Bruxelles, 11-12 décembre 2009) et la Conférence et Exposition sur la TI (Dublin, avril 2010). Il a également souligné l’importance de l’adhésion des pays d’Amérique Centrale à la Convention de Kyoto révisée et a exprimé la volonté de l’OMD d’apporter son aide à cet égard si nécessaire.
Pour finir, les deux Secrétaires généraux ont promis de renforcer la coopération des deux Organisations dans les domaines de préoccupation et d’intérêt communs et d’explorer la possibilité de signer un protocole d’accord.