Bruxelles, le 21 février 2012

Communiqué de presse

Le Secrétaire général de l’Organisation mondiale des douanes (OMD), Kunio Mikuriya, a rencontré le Secrétaire général des Nations Unies (ONU), Ban Ki-moon, au siège de l’ONU à New-York le mardi 21 février 2012, pour procéder à un large tour d’horizon.

Se félicitant des contacts étendus entre les deux organisations, les deux dirigeants se sont engagés à continuer à intensifier à l’avenir la coopération et l’interaction à haut niveau.

Compte tenu des nombreux domaines suscitant un intérêt commun et des actions complémentaires, il a été proposé de procéder à de premiers échanges de vues sur la façon d’enrichir davantage encore les rapports entre l’ONU et l’OMD.

Les échanges de vues ont porté sur la sécurité, la protection de la santé et de la sécurité des citoyens contre le commerce illicite, tel que celui des stupéfiants et des faux médicaments, la facilitation des échanges en tant que fondement de la croissance économique, la croissance durable et les enjeux environnementaux, tels que les déchets dangereux, la coopération inter-organisations et l’alignement des objectifs pour aboutir à des résultats optimaux.

La réunion s’est terminée sur un engagement à organiser entre l’OMD et l’ONU d’autres consultations à haut niveau dans un futur immédiat afin de faire progresser les idées évoquées durant ces entretiens.

«Je me félicite de l’interaction quotidienne entre les deux organisations», a déclaré le Secrétaire général Mikuriya. «Ceci permet à la communauté douanière de s’aligner sur les programmes mondiaux et de renforcer la connectivité.»

«J’ai connaissance des travaux excellents réalisés par l’OMD et de son étroite coopération avec les agences des Nations Unies,» a déclaré le Secrétaire général Ban Ki-moon. «Cette rencontre constitue une parfaite opportunité d’intensifier nos relations.»

Plus tôt dans le courant de la journée, le Secrétaire général Mikuriya a rendu une visite de courtoisie à Helen Clark, Administrateur du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD); ils ont évoqué à cette occasion les flux financiers illicites et leur impact sur les économies, le commerce des déchets dangereux et le commerce illégal du bois, l’Aide pour le commerce et certaines questions spécifiques concernant les pays sans littoral.