Début d’une séries d’ateliers de partage d’expériences sur les technologies de rupture dans la région Asie-Pacifique de l’OMD

25 mars 2021

L’atelier en ligne de partage d’expériences sur les technologies de rupture a eu lieu du 22 au 24 mars 2021 dans la région Asie-Pacifique de l’OMD. Organisé avec le soutien du bureau régional de renforcement des capacités (BRRC) de la région Asie-Pacifique, l’atelier était soutenu financièrement par le Fonds de coopération douanière (FCD) de la Chine. Cet atelier était le premier d’une série d’ateliers régionaux sur la question qui seront offerts pendant l’année, dans le but de partager des expériences et de recueillir des participations pour la mise à jour du rapport d’étude de l’OMD sur les technologies de rupture.

L’atelier a réuni plus de 50 participants de 17 Administrations membres et conférenciers de l’Asie-Pacifique délégués par les douanes et d’autres organismes, et par le Secrétariat de l’OMD, l’Organisation mondiale du commerce (OMC), l’Organisation maritime internationale (OMI), l’Organisation internationale de normalisation (ISO), la Commission des Nations Unies pour le droit commercial international (CNUDCI), la Chambre de commerce internationale, des fournisseurs de solutions du secteur privé et des universitaires.

L’atelier, qui portait sur l’utilisation des chaînes de blocs, l’intelligence artificielle, l’apprentissage machine et l’Internet des objets, a examiné des exemples d’utilisation et des projets d’innovation, en plus de débattre des résultats et des leçons apprises. Les participants ont abordé diverses questions, notamment le rôle des partenariat public-privé, les moyens de soutenir le concept de pipeline de données, l’utilisation de technologies pour augmenter les capacités de gestion des risques et la détection automatisée des menaces, les solutions de suivi et les exigences en matière de gouvernance. Une session entière a été consacrée aux normes internationales pertinentes, telles que le Modèle de données de l’OMD, et leur rôle dans la mise en place de l’interopérabilité et des échanges commerciaux sans papier. À l’issue de débats collectifs interactifs, l’atelier a produit un certain nombre de recommandations pour le déploiement futur de ces technologies, dans le but d’améliorer la facilitation et le contrôle des échanges.